La brutalité policière ...inutile.
Sept coups de matraque et du poivre de Cayenne.
Le policier de St-Louis (hors service) travaillait à la station de service comme agent de sécurité. Selon le propriétaire du commerce , l'homme qui était ivre , méritait les coups parce qu'il retenait les chevilles de l'officier.
L'officier en question a des antécédents de force excessive.
L'article complet sur le stltoday.com
Print article | This entry was posted by astonfanify on 01/06/11 at 03:18:35 am . Follow any responses to this post through RSS 2.0. |